Maël & les Warblers

« I'll try to fix you »

Maël regardait le plafond, allongée sur son lit, la couverture à ses pieds. Il était trois heures du matins, et impossible de dormir, d’ici quelques heures, un important colis devait arriver : son uniforme. Lors de son entretiens, le directeur lui en avait donné un, mais il était fait pour une morphologie d’homme, et la rouquine n’était pas du tout à son aise dedans, elle avait donc demandé à son père d’employé une bonne couturière pour qu’elle lui refasse le même uniforme. Cependant, la meilleure entreprise pour faire ce genre de chose se situait bien évidemment en chine et donc il y avait un délai d’attente, mais aujourd’hui, normalement, le colis devait arriver. Ils avaient prix le transport le plus rapide, Maël était prête à sauter de son lit dès qu’elle entendrait la sonnerie de la porte. Ce genre de livraison arrivait plutôt vers 7heures du matin, mais elle ne pouvait dormir, trop pressée de pouvoir enfin enfiler son uniforme. La jeune fille tourna dans son lit, attrapant son oreiller pour en faire un doudou, ou alors le plaçant sur son ventre en guise de maigre couverture. Elle n’arriverait pas à trouver le sommeil de toute façon, elle en avait conscience, mais que faire ? a pars tourner et se retourner dans son lit, faisant craquer les lattes à chaque mouvement, il n’y avait rien à faire. Elle poussa un soupire, regardant son téléphone qui affichait à présent 3h20. Pourquoi les postiers n’étaient-ils pas insomniaques ? Voici la question du jour !

La rouquine haussa un sourcil et ramena son téléphone jusqu’à son visage, il était à présent 7h30. Maël sursauta, avait-on déjà sonné ? Est-ce qu’elle avait loupé le postier ? Elle se leva d’un bon, ne prenant pas la peine de mettre des vêtements, descendent les escaliers à toute vitesse en sous-vêtements. Elle ouvrit la porte à la volé, découvrant avec désolation le petit papier jaune indiquant qu’on avait loupé un coli. Par chance, le facteur venait tout juste de le déposer et il était encore dans l’allée « Hé vous ! » Le héla-t-elle, il se retourna, surpris pour ne put s’empêcher d’acquiescer un sourire en voyant la tenue de la jeune fille. Maël n’y fit pas attention, et attendit sagement qu’il revient vers elle. « Jade Johnson ? » elle prit le colis et signa avant de lui rendre sa petite tablette et de le corrigé « On dit pas ‘Jade’, ça se prononce Radé. » avant qu’il n’ait le temps de rétorquer quoi que ce soit, elle lui ferma la porte et au nez et grimpa dans sa chambre en sautillant, le coli entre les mains. Elle le déposa délicatement sur son lit et, usant d’un ongle qui avait eu la chance de ne pas être rongé, elle déchira le scotch qui entourait le paquet et l’ouvrit. La rouquine reteint alors sa respiration, et si l’uniforme ne ressemblait pas à l’original ? Et si elle s’était faite arnaquée ? Elle prit une grand inspiration et sortie l’uniforme du paquet. Il y avait une veste au couture rouge et une base noir, le tissus et délicat et agréable au touché, ça paraissait luxueux et bien fait. Maël inspecta toutes les coutures, elle releva le col pour voir s’il n’y avait pas de défauts en dessous : la jaquette était parfaite.

Maël attrapa donc la suite du costume, une chemise blanche, bien pliée et repassée. Elle semblait plus large au niveau de la poitrine pour ne pas mouler les seins de la jeune fille, une fois de plus elle inspecta tout avant de passer au pantalon qui était sa plus grande appréhension. Ce dernier était noir, fait du même tissu que la veste, il était pincé vers le bas, lui donnant le style d’un pantalon carotte pour homme. C’était parfait, ça n’allait pas mouler ses cuisses ni ses fesses, on y repérerait surement pas trop ses formes. Ne perdant pas de temps, elle troqua sa culotte pour un caleçon multicolore et enfila son costume. Elle s’émerveilla devant le résultat, a-t-elle déjà dit que c’était parfait ? Entendent la porte de la chambre d’à côté s’ouvrir, elle s’y précipita « Papa, regarde ! » son père, à moitié endormi haussa un sourcil et sourit, la complimentant. La rouquine descendit alors avec son père prendre un petit déjeuner, elle s’habitua vite à la tenue, faisant attention à ne pas la tâcher. Quand son paternel fut prêt, Maël monta chercher la valise qu’elle avait préparé avec tous ses sous-vêtements, ses baguettes de batterie et son minimum vital : une paire de ciseaux et un lisseur. Elle ferait en sorte de ne pas les laisser voir ces derniers.

S’installant à droit de son père, elle commençait sérieusement à angoisser, et si les garçons de Dalton n’étaient pas dupe et se rendaient tout de suite compte qu’elle était une fille ? Elle avait peur qu’ils se moquent d’elle comme les filles de new york l’avaient fait. Maël mit alors un CD dans le lecteur de la voiture, ‘ fix you’ de coldlpay, pour se détendre, elle frappait le rythme sur la boite à gant, chantant quelques passages alors qu’elle voyait l’académie se dresser devant elle. Elle lança un sourire à son père, l’embrassant sur la joue et sortie de l’auto pour prendre sa valise dans le coffre. Maël lança un dernier regard à son père, lui faisant un signe de la main et elle entra dans l’académie, l’appréhension augmentant un peu plus à chacun de ses pats. Ouvrant une grande porte, elle se retrouva alors dans un long couloir dans lequel se trouvait plusieurs garçons, elle s’avança, hésitante. Cherchant un plan sur un mur, ou sur un panneau d’affichage, mais elle était vraiment perdue. « Excusez-moi… » Lança-t-elle à la fois d’une voix mal assurée « je suis nouveau. » Les garçons la regardèrent alors et elle leur fit un sourire crispé, essayant de se détendre. Elle était une arrivante de début d’année, les cours avaient commencé pour eux depuis déjà deux semaines, ils devaient surement se demander pourquoi un nouveau arrivait maintenant.

Nouvelle journée pour les Warblers dans notre belle Dalton académie. Nouvelle journée pour moi également. Je me lève et m'étire en constant une fois de plus que Nick n'est déjà plus là. Je soupire et me dirige vers la salle de bain pour prendre ma douche. Je reste un long moment sous l'eau profitant de la chaleur pour me réveillé un peu. Après être douché je descend prendre mon petit déjeuner en compagnie des garçons et m'installe à ma place habituelle entre Thad et Trent qui discutent déjà de leur week-end en perspective. Je souris à mes deux amis qui me demandent ce que je compte faire et leur énonce donc le programme fait par mon petit frère pour aller le voir en studio de tournage puis peut-être passer le dimanche à écrire de nouvelle chanson et un saut en studio pour tester toutes les nouvelles choses qu'on aurait pût faire. On continue de parler pendant le repas et puis nous prenons la direction de nos cours. Je commence avec math et j'ai vraiment pas envie d'y aller parce que ce n'est vraiment pas un cours que j'aime. Je peux même dire que je le déteste et ça se ressent d'ailleurs puisque c'est le cours où j'ai les plus mauvaises notes. Je m'endors au bout de dix minutes maximum et ce n'est que lorsque Tristant me lance son stylo sur la tête que je la relève et regarde le prof qui m'appelle depuis un moment. Je baille en signe de protestation et me fais encore une fois virer du cours. Je ramasse mes affaires et fonce vers la salle de répétition des Warblers.

Alors que je parcoure les couloirs pour me diriger vers notre salle de chant je repère au loin Duardo et je m'approche de lui posant ma main sur son épaule. " Yo Durdo. " Je lui souris et pose mon regard sur le jeune homme en face de lui. Tiens je l'ai jamais vue par ici. Je souris au nouveau en lui tendant la main. " Salut comment ça va ? Moi c'est Jeffrey mais tu peux m'appeler Jeff. " Je me tourne vers notre " leader " et lui demande sur le ton de la plaisanterie. " Tu sais que tu ne dois pas intimidé les petits nouveaux ? Si il à une meilleure voix que toi va falloir t'habituer à la seconde place. T'en fais pas je t'apprendrais. " Je souris et lui lance un clin d'oeil avant de reporter mon attention sur l'autre garçon. " Tu viens d'où comme ça ? Tu vas voir la Dalton c'est génial ! Et si tu veux te faire de vrais amis viens dans les Warblers tu verras tu seras le bienvenue parmi notre belle et grande famille. " Moi je parle trop ? Non voyons. Enfin oui je parle trop je sais mais j'aime bien rencontrer des nouvelles personnes et puis j'adore vraiment partager avec les gens. Je ne perds pas mon sourire tout en m'adressant au peut-être futur membre des Warblers. Il semble un peu bizarre , il à un je ne sais quoi qui me dis que je devrais me méfier mais que voulez-vous je suis tête en l'air et en général j'aime tout le monde même les gens étrange. Il à certes un look un peu spécial mais il n'a pas l'air méchant. Au contraire je dirais plutôt timide et réservé.

HJ: déjà merci beaucoup à vous trois d'avoir répondu J'essayrais de ne pas vous decevoir pendant ce rp. J'aime beaucoup vos réponses et vos styles d'écritures ♥! Je vous laisse le choix de comment vous voulez continuer le rp, à vous de voir ce que vous aller faire subir à Maël, vous pouvez même la bizuter, oui oui , si l'un d'entre vous souhaite avoir de sérieux doutes au sujet de son sexe c'est à vous de voir, pas de problème. Voilà, merci encore & je suis désolée ce poste est moins long que le précédent. Je vous aime

Maël & les Warblers

« I'll try to fix you »

Le bâtiment semblait immense et ce n’était pas pour déplaire à notre jolie rouquine, bien au contraire, cependant elle se retrouvait à présent seule, sa valise au bout du bras dans un couloir bondé de jeunes hommes tous vêtus de la même façon, ne faisait-elle pas tâche au milieu de ce beau monde ? C’est alors que d’une petite voix aigüe elle tenta d’attirer l’attention des étudiants. L’un d’eux se retourna alors et s’avança vers elle, il était assez petit puisque Maël faisait sa taille et la jeune fille n’était pas bien grande. Le jeune homme était brun aux cheveux frisotants, il lui demanda alors gentiment s’il pouvait l’aider. Aussitôt elle lui avoua qu’elle était nouvelle, ou plutôt nouveau puisqu’ici Maël était un garçon. Son interlocuteur dont elle ne connaissait même pas le nom commença alors à lui demander si elle cherchait une salle de classe, ou l’administration mais elle ne savait pas vraiment ce qu’elle cherchait. Peut-être un peu de réconfort et une visite de l’établissement ? Il planta alors ses yeux dans les siens et la rouquine se sentit encore plus mal alaise. Est-ce que ça se voyait sur son visage, sur son être qu’elle n’était pas comme eux ?

Maël prit une grande inspiration et se racla la gorge, s’apprêtant à répondre quand juste un autre garçon vint vers eux, il prit le brun par les épaules et le salua. « Durdo ? » demanda-t-elle toujours à demi-mot, peut-être allait-elle pouvoir obtenir le nom du brun ? Le dernier arrivant leva alors les yeux vers elle et lui tendit sa main en souriant, il se présenta sous le nom de Jeffrey. La jeune fille serra donc la main de Jeff, elle essaya d’y mettre un peu de force pour que cela paraisse crédible mais ce fut sans succès et elle ne put s’empêcher de grimacer en sentant la poigne de fer autour de sa petite et fragile main droite. « Maël… » Tenta-t-elle de se présenter, visiblement aucuns des deux n’avaient entendus alors elle réitéra d’une voix légèrement plus forte. « Je m’appelles Maël. » Le blond continua sur sa lancer, il se mit à parler avec le surnommé Durdo, mystérieux personnage dont elle ne connaissait pas encore le nom. Ce dernier semblait être le leader de la choral ; Maël sourit au blond alors qu’il reposait son attention sur elle, la questionnant d’abord sur sa provenance. « Je viens de New York, j’ai emménagé il y a peu de temps. » A présent, la rouquine avait un sourire coller au visage, leur bonne humeur était communicative et cela lui faisait du bien de voir des personne civilisé à qui on pouvait parler. Quand il parla des Warblers, son sourire s’agrandis et elle ouvrit son sac à la va vite sortant ses baguette, elle les leur montra fièrement « justement, je joue de la batterie si ça vous intéresse. Et pas de panique – elle lança un regard entendu à Durdo – je chante aussi bien qu’un porc égorgé. »

La rouquine commença à prendre confiance, ils la mettaient vraiment alaise et semblait visiblement ne rien voir quant à sa différence avec eux. Maël tourna la tête et vit une branche de son lisseur dépasser de la valise, elle se précipita sur cette dernière et referma le tout ni vu ni connu. Un autre garçon vint alors rejoindre la petite troupe, un peu gringalet et une bonne bouille il semblait aussi gay que ses amis. Arrivant à leur hauteur, le jeune homme embrassa les joues de Maël à sa plus grande surprise, c’était une habitude de fille ça non ? Benjamin lui demanda si elle était nouvelle et elle acquiesça, elle lui sourit et regarda les trois garçons. Le dernier arrivant avait éclairer la rouquine pour le nom de ce Durdo. « Donc, Eduardo ? – elle pointa le brun -, Jeff ? – le blond – Et Ben ? Je suis heureux de vous rencontrer ! Maël Johnson, je viens de New York. Vous faîtes tous les trois partis des Warblers ? Je sens que je vais me plaire ici, vous avez tous l’air si gentil. »